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Le récapitulatif pour le Dalf C1 de l'année 2018, session novembre

 

 

I.Compréhension de l¡¯Oral

Sujet long : En période de froid, les ingénieurs en cryologie cherchent à

                optimiser la gestion énergétique avec une consommation

                croissante.


 

Sujet court I : La nomophobie ; l'effet secondaire et ses solutions.

Pour la communauté scientifique internationale, l'usage abusif du téléphone mobile n'est  pas une pathologie. L'addiction au smartphone n'est pas reconnue, contrairement à la        dépendance aux jeux d¡¯argent qui est inscrite dans le manuel diagnostique et statistique   des troubles mentaux (DSM-IV). Ainsi, user du terme de « phobie » peut paraître quelque peu exagéré car, dans la majorité des cas, il ne s'agit que d'une anxiété banale.

Une étude a révélé que 53 % des utilisateurs de téléphones mobiles (76 % chez les jeunes de 18 à 24 ans) au Royaume-Uni ont tendance à être anxieux quand leur téléphone est      perdu, à court de batterie ou de crédit, ou qu'ils n'ont aucune couverture réseau. Elle a      également révélé qu'environ 58 % d'hommes et 48 % de femmes souffrent de cette            phobie, et 9 % se sentent stressés lorsqu'ils n'ont pas leur téléphone portable. L'étude a été effectuée à partir d'un échantillonnage de 2 163 personnes et montre que ce phénomène s'est amplifié avec l'avènement des smartphones et des forfaits illimités. 55 % des            personnes interrogées ont cité le fait de garder le contact avec leur famille ou leurs amis   comme étant la principale raison pour laquelle ils sont anxieux sans leur téléphone            portable. 10 % des personnes interrogées disent qu'elles ont besoin d'être joignables à tout moment à cause de leur travail. L'étude montre que le niveau de stress induit par les cas   standards de nomophobie est comparable à celui du trac éprouvé lors du jour de son         mariage ou à une consultation chez le dentiste. Selon une étude commanditée en 2010 par le fabricant Nokia, les utilisateurs consulteraient leur smartphone 150 fois par jour, soit en moyenne toutes les 6 minutes et 30 secondes, au cours d'une journée de 16 heures.


Sujet court II : La transformation nos déchets en oeuvres d'art par

                    une association
 

II.Compréhension des écrits

Sujet : L'impact sur les employés qui cohabitent avec leurs animaux  domestiques sur le lieu de travail.


III. Production écrite
 

synthèse : Est-il faisable des publicités sur le trottoirs ? 


Argumentation : pour ou contre sur la publicité sur le trottoir.

Trois questions sur la publicité sur les trottoirs, désormais autorisée dans certaines villes

C'était l'un des derniers espaces publics interdits à la publicité. Les villes de Bordeaux, Lyon et Nantes peuvent tester depuis lundi les marquages publicitaires éphémères sur les trottoirs, selon un décret publié dimanche 24 décembre au Journal officiel. Cette expérimentation "déroge à plusieurs règles du Code de la route et du code de l'environnement", souligne le décret, puisque ces codes "interdisent d'apposer des marquages publicitaires sur les trottoirs".


 

Quelles sont les règles ?

Cette expérimentation est encadrée par des règles précises. Les publicités ne doivent pas diminuer les caractéristiques d'adhérence du sol. Ces publicités ne pourront pas rester plus de dix jours ni excéder 2,50 m2, indique le décret, et devront être éloignées les unes des autres d'au moins 80 mètres. Une évaluation aura lieu tous les six mois pendant la période d'expérimentation à l'intérieur de ces trois agglomérations, et sera suivie d'un rapport final qui devra préciser combien d'annonceurs y auront eu recours.

Ce rapport devra également indiquer "la mesure d'un éventuel lien entre accidents de la route et présence des marquages sur les trottoirs", un "éventuel lien" avec des chutes de passants sur les trottoirs concernés, l'opinion des riverains ou encore "les différentes techniques employées au regard notamment de l'effacement ou de la disparition effectifs des marquages au bout de dix jours". Le gouvernement se réserve le droit "à tout moment" de suspendre l'expérimentation ou d'y mettre un terme.
 

Ces marquages sont-ils polluants ?

Le décret stipule que ces marquages doivent être réalisés "par projection ou application, à travers un pochoir, d'eau ou de peintures biodégradables". En théorie, ces publicités ne devraient donc pas polluer l'environnement. Sur son site, l'une des entreprises du secteur explique utiliser de l'"eau fluviale non-potable" et des "matériaux naturels" pour ses publicités.

Quelles sont les réactions ?

 Porte-parole de l'association Résistance à l'agression publicitaire, Khaled Gaiji dénonce sur franceinfo une "pollution supplémentaire". "Le dispositif peut être propre, mais son objectif est très sale (...) Notre environnement mental et paysager est envahi par ces publicités, estime le militant. Nous demandons à ce qu'on laisse des espaces libres de tranquillité, sans injonction à consommer."

A l'inverse, cette expérimentation réjouit Tanguy Bard de Coutance, directeur associé de Biodégr'AD, une entreprise spécialisée dans les peintures biodégradables. "Cela va permettre de dissiper le flou juridique, en amenant du concret, quelque chose d'encadré. On va pouvoir être intégré aux plans locaux de publicité, payer des redevances et d'avoir un support légitime, qui a toute sa place", a-t-il expliqué à France 3. Jusqu'ici, les annonceurs s'y livraient de manière illégale. En 2015, comme le raconte Le Parisien, la ville de Paris avait dû taper du poing sur la table pour limiter cette pratique.


 

La mairie de Bordeaux (Gironde) a fait part de sa surprise et s'est montrée critique à la lecture du Journal officiel, rapporte Sud Ouest. "Les élus et administrations de la Ville de Bordeaux et Bordeaux Métropole n¡¯ont, à aucun moment, été consultés ou informés en amont de cette décision", explique-t-elle dans un communiqué. "La Ville de Bordeaux demeure donc dans l¡¯attente de précisions quant à l¡¯utilité d¡¯une telle décision et des conditions de son application", a-t-elle ajouté.


IV. Production Orale

Sujet : le télétravail et quels sont ses effets ?

Développer le télétravail en le formalisant davantage, simplifier et clarifier des    points juridiques : voilà les propositions faites d'un commun accord par les         syndicats et les organisations patronales.

 

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