Le télétravail, une révolution pour le meilleur et pour le pire
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Transcription ;
Oui. Elisabeth. Nous sommes des millions depuis le début de cette crise santaire à avoir exploré et bien les joies du télétravail. C¡¯est vrai qu¡¯entre les les gens...
Retourne. Je travalle. Je travaille. S¡¯il te plaît tu peux fermer la porte.
C¡¯est dur à contrôler. Les interruptions intempestives liées à la vie personnelle et les heures passées devant un écran et se concentrer n¡¯est pas toujours chose facile.
Même s¡¯il faut bien reconnaître que cette pratique a été indispensable pour maintenir un semblant d¡¯activité, cette nouvelle organisation à marche forcée a donné des idées dans le monde de la tech comme google qui encourage ses cent mille employés à travailler depuis chez eux au moins jusqu¡¯en 2021. Idem pour facebook. Quant à twitter, le patron du réseau social, Jack Dorsey est allé encore plus loin en proposant à ses employés qui le peuvent et qui le désirent le télétravail à vie. Ne plus jamais revenir à son bureau. Voilà qui va limiter le contact social avec ses collègues comme le charme des échanges autour de la machine à café.
Ça,tient. Salut. François ? t¡¯as passé un bon week-end ?
ouf studieux quoi. Et toi ?
ouf. Pareil. Bon. On se remet ?
Ben oui. Il faut s¡¯y remettre pour le boulot.
Ce n¡¯est pas s étonnant que le milieu de la technomogie qui a fait la distanciation physique son fonds de commerce encourage cette pratique. Elle permet au passage de réduire les frais de structure et aussi de pouvor licencier 3,500 personnes en trois minutes.
Allez viens. Allez. dodo là.
C¡¯est ce que viennent de vivre les employés en charge de l¡¯administrative de l¡¯application Uber qui ont appris lors d¡¯une vidéoconférence leur licenciement par la voix tremblante de la directrice clientèle basé à Phoenix.
C¡¯est certain. Le télétravail fraglise la position du salarié qui a moins de contacts avec son patron ou avec sa patronne. Cette distanciation rendant doute plus simple une séparation ou un licenciement ce qui...
Elisabeth ? Elisabeh ? oh oh !! Elisabeth ? on se voit toujours demain ?
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